Le printemps de l'est ...
Le cri du peuple s'élève, criant à l'aube naissante,
Ben Ali s'est enfui, suivi de Moubarak,
La haine de ces tyrans, a tonné dans les gorges,
Et tel Vésuve éclatant, a joint le ciel de lave,
la rage de vivre libre, cet instinct immortel,
A fait grossir les voix, qui déferlent enragées,
Emportent les despotes, les jettent dans les geôles,
Ainsi que toute la pègre, suçant du corps les veines,
Le peuple reprend sa langue, il s'éclaircit la voie,
En jugeant les faux frères, loin de toute vengeance,
Donnant une belle leçon, aux vachers d'Amérique,
Qui pour aider l'irak,l' ont pour longtemps brisé
Les peuples en ont marre, de tous les faux sorciers,
De l'aide jamais gratuite, des rapaces du couchant,
N'ayant de vrais amis, que leur pétrodollars,
Se foutant bien du tiers, voire même de tous les mondes,
Pourvu qu'ils survivent eux, et coulent les sens à flot...
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