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Affichage des articles du juin 28, 2009

L'enseignement :Apprendre ou à l'essai ?

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Lors du dernier message relatant le passé fleuri de Goulmima au sens propre (devenu sale) et au sens figuré (défiguré depuis) ;j'ai fait une comparaison assez osée avec" la silicon valley",siège de l'intelligence au pays de l'oncle Sam. La meilleure preuve pour illustrer cette dégradation télécommandée du niveau des études dans tous le pays est le copiage systématique auquel ont souvent recours la majorité des élèves à tous les niveaux de leur scolarité.Mais les causes de ce copiage se retrouvent aussi dans les pratiques peu orthodoxes de certains professeurs au niveau primaire qui,encouragés souvent par des directeurs d'école peu scrupuleux qui veulent augmenter le nombre des admis de leur école pour en donner une bonne impression ,rédigent au tableau noir toutes les réponses des épreuves,notamment en classe de sixième primaire.Une pratique frauduleuse toujours en usage actuellement et qui fausse malheureusement tous les résultats et donne une évaluation e

Goulmima :Entre la piscine de jadis et la pisse-in d'aujourd'hui !!!

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Pour qui connaît la ville de Goulmima ,avec sa chaleur caniculaire des mois d'été ,il serait vraiment étonné qu'elle ne dispose que d'une seule et unique piscine dont il ne demeure plus que la forme d'un bassin rempli d'une eau douteuse ,qui devient verdâtre à partir de la troisième journée de remplissage servant de bouillon de culture à des familles entières de microbes et de parasites. Autrefois, ce même bassin était vraiment digne du nom de piscine,avec son bungalow central en osier,ses cabanons servant de vestiaires équipés de chaises confortables, et munie d'un plongeoir superbe ;avec au milieu de la piscine même différents animaux aquatiques superbement peints d'une main de maître, et d'un réalisme parfait qui donnait l'impression aux nageurs d'évoluer au milieu d'une faune vraiment vivante.De plus il était strictement interdit de plonger dans la piscine avant de prendre une douche.C'était le temps où notre ville était un véritable

Pour une école publique vraiment performante !

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L'apprentissage des langues au Maroc de manière générale est catastrophique comme en témoignent les différents sites hantés par les jeunes teenagers ,contraints souvent d'écrire leur langue maternelle Tamazight ou Taarabt en lettres latines pour véhiculer le contenu de leur pensée, face à des interlocuteurs francophones , espanophones ou anglophones.Et puis ne me dîtes pas qu'un élève de deuxième année du bac ne ressent aucune infériorité de ne pouvoir s'exprimer dans la langue de Molière,de Shahespeare ou de Cervantes quand il le faut!. Ce sentiment existe bel et bien et plonge le jeune marocain dans une angoisse qui ne fait qu'augmenter son sentiment d'insécurité et,de fil en aiguille,réduit sa confiance en lui même et en ses capacités.Je ne parle pas bien sûr des enfants privilégiés ,élevés par une nurse du Yorkshire ou envoyés à la crèche de la mission étrangère dés leur sortie des couches.Je parle de l'enfant du peuple envoyé à l'école publique où

Entre vampires élus et vampires ailés,Quels sont les plus zélés?!!

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Des nuées de moustiques ont envahi l'espace vital de Goulmima et nous collent sur la peau où que nous allions jour et nuit ,sans que nous sachions vraiment quand est-ce qu'ils se décideront à nous fausser compagnie de leur plein gré.Je dis bien de leur plein gré parce que les services incompétents,notamment la municipalité avec son bureau d'hygiène ne bougeront probablement pas le petit doigt pour nous en débarrasser comme ce fut le cas à Errachidia ou dans d'autres villes où de gros moyens ont été mobilisés pour trucider ces moustiques et leur faire passer l'envie de pomper le peu de sang non pollué qui reste dans nos veines ;nous qui sommes, cherté des denrées alimentaires oblige, astreints à un régime draconien à la limite du supportable. A goulmima donc rien n'est fait pour l'instant et chaque soir ces nuées envahissent les maisons où ils se mettent à tourbillonner frénétiquement autour des lampes à incandescence qu'ils prennent peut-être pour un