Quand les "langues fourchues" prétendent décider du sort des langues .
L'appel à l'écriture de tamazight en lettres araméennes qui se comprend en clair et à une plus grande dimension en filigrane dans le discours du ministre de la culture ,participe d'une mauvaise conscience manifeste envers cette composante primordiale de l'identité nationale que d'aucuns cherchent encore à cacher avec un crible . C'est pourquoi, d'un autre côté nos "intellectuaux" ,contrairement à leur habitude d'être une caisse de résonance dans laquelle se répercutent les sons des questions discutées dans leur mère l'hexagone,on ne les voit pas faisant écho du débat sur l'identité nationale .Pour la simple raison que les gourous des partis qui tiennent le micro depuis l'indépendance ,et les autres le crachoir, ne tiennent pas à rompre avec les grosses vaches laitières du moyen orient ,qui entre nous ne sont plus aussi prolifiques ,mais on continuera jusqu'à sucer du sable avec le pétrole et on avisera .En attendant se disent ...