goulmimalive

Le bureau exécutif de la section basket-ball prie le public goulmimien de venir massivement encourager son équipe dimanche prochain 27/02/2011 dans son premier match de la phase aller du championnat de la troisième division contre l'union sportive d'Errachidia (USER).Le match aura lieu à la salle omnisports à partir de 10H30mn. Il es à signaler que la salle couverte a ouvert ses portes aux deux équipes représentatives de Goulmima dans les disciplines suivantes : basket-ball et foot-ball suivant le calendrier suivant : Dimanche : benjamins (basket). Mardi : seniors et cadets (basket). Mercredi : préparation physique de l'équipe de foot. Jeudi : seniors et cadets (basket). Vendredi : seniors et cades (basket). Samedi : juniors et seniors (basket). Dimanche : minimes (basket). Des photos jointes prises aujourd'hui même montrent des jeunes en train de s'entraîner. Je tiens aussi à préciser que la ville ne compte pas encore d'équipes dans les autres disciplines col

L'acharnement suicidaire mis par le tribun sanguinaire libyen à quitter son trône impérial est une leçon très importante sur la nature humaine qui tient mordicus à ignorer ses limites .Il en est de même de tous ces petits despotes qui hantent nos administrations publiques nos partis politiques et nos centres  de décision durant des années . Il y a des secteurs où nous avons des Kadhafi en miniature qui brûleraient ciel et terre pour continuer à régner sur leur fief. Des secrétaires de partis politiques de l'âge de la pierre taillée qui continuent ,avec force maquillages, étirage et silicone à l'appui, de vouloir décider du sort de leurs partis ou de leurs syndicats comme d'un héritage paternel dûment certifié.C'est bien la peur de la vengeance populaire qui les a dissuadés de sortir avec les foules ,ils n'avaient plus ,toute appartenance confondue,de visage à montrer au peuple qu'ils ont mille fois trahi et abusé . La révolution venue de l'est, dont

En scrutant ces photos, vous croiriez qu'il s'agit d'une gourbi d'ouvriers dans un bidonville reculé, mais vous n'en reviendrez sûrement pas lorsque vous saurez qu'il s'agit de la salle des professeurs de l'un des illustres et l'un des plus brillants lycées du Maroc, de par les cerveaux qui s'y sont burinés, plus que par les belles devantures. Seulement il ne s'agit pas ici de luxe mais seulement de décence minimum, dans un lieu où viennent se reposer pour un laps de temps les corps éreintés des professeurs surmenés par le surnombre et l'attention incessante face à des classes de plus en plus mal élevées. Encore faudrait-il s'asseoir sur ces éponges amollies par le poids des ans et des Hommes pour ressentir toute l'humiliation possible et regretter le jour où vous avez  décidé de rejoindre ce métier,et surtout de travailler dans de telles conditions . Les enseignants ont organisé l'année dernière une collecte d'argent

Ce matin à 10 heures, une cinquantaine de femmes (encore elles) des ksour de Aït Moch, Aït sidi M'hamd Oulahcen, Takatert, ainsi que du quartier Imarighen, ont organisé une marche de protestation avant de s'arrêter devant le pachalik et près de la municipalité. Des femmes de condition modeste visiblement, qui scandaient des slogans quémandant des besoins incontournables tels que l'eau courante et l'électricité. Les protestataires étaient toutes des mères de famille dans l'âge de raison, éreintées par la besogne quotidienne de la recherche de l'eau pour les usages élémentaires d'une vie décente. Elles ne demandent pas la lune, mais juste l'éclairage et l'eau pour leur maison, en tant que citoyennes dignes de jouir de leurs droits dans un milieu que toute la paperasse désigne comme urbain, mais qui en réalité est semblable au plus misérable des bidonvilles, de par le défaut de l'eau de robinet et de l'éclairage. L'une d'entre elles n&#

L'ironie du sort!(9ème épisode) Quelques petites minutes après ce regrettable incident,la maison s'emplit de gens ameutés par les cris et les larmes des soeurs de Yane.Les proches et les voisins accoururent,solidarité oblige.Chacun et chacune voulant aider,rendre un service,se montrer aguéri(e) et endurci(e):"Lhdaga" des gens de chez nous.Les familles endeuillées en savent des choses. Yane,encore sous le choc,comprit combien c'est dur d'être l'unique garçon de la famille d'autant plus que son père était vieillissant.Il eut la chance de se trouver entouré de plusieurs amis et proches prêts à lui donner leur soutien et à lui témoigner leur compassion.Ils s'occupèrent des funérailles de sa défunte mère qui fut enterrée le lendemain,firent toutes sortes de courses nécessaires en de pareilles circonstances,reçurent les gens venus lui présenter leurs condoléances,préparèrent thé et servirent gâteaux aux visiteurs... Ils firent beaucoup mieux car ils pa

Les diplômés chômeurs occupent toujours  la scène des revendications sociales. Personne d'autre n'est sorti d'ailleurs jusqu'à la rédaction de ces lignes .Les protestataires sont plus nombreux que la dernière fois, une centaine approximativement. Les slogans sont devenus plus véhéments et plus ciblés, abbas y passe encore mais cette fois-ci en Tamazight aussi "a abbas abou tillas baraka n'tkerkas",un slogan emprunté au mouvement culturel amazigh où le premier ministre est traité de menteur .Un autre slogan rappelle les récents évènements de Tunisie " Ljamahir tzid tzid 3la khotta sidi Bouzid", dans un clin d'œil aux probables conséquences néfastes qui pourraient advenir en cas d'ignorance de ces revendications, notamment en ces temps sulfureux et cruciaux. On a observé encore une attitude passive des autres citoyens qui sont demeurés là à regarder, attendant peut-être l'éclatement d'un quoi que ce soit pour que les choses s'

Cet après-midi à Er-Rachidia à la salle municipale de la Palestine, a été commémoré le chanteur musicien M’barek Oularbi . Un événement tant attendu par tous les amis de NBA et par tous les amoureux de la chanson engagée Amazigh . L’occasion était bonne pour mettre en valeur le sens de la fraternité qui reliait le défunt avec tous ceux qui aspirent à une liberté d’expression sans retenue aucune .  L’écho des chants Amazighs repris par les étudiants camarades du défunt ainsi que par l’assistance qui était nombreuse et les logos faisaient de cette soirée un jalon dans le vaste océan de l’oubli, pour faire briller à jamais ce flambeau qui malgré son absence corporelle, reste allumé dans les âmes . Les parents de NBA qui ont retenu tant les regards de par l’amertume sentie sur leur visage ,ont rappelé aux jeunes présents qu’ils voyaient en eux leurs enfants , notre NBA disparu si jeune . Malgré les préparatifs qui ont duré depuis l’annonce de cet événement sur plusieurs sites, l’improv