goulmimalive

Si l'on fait rien ,si l'on croise , Les bras d'attente ,souffre en silence , face à ces aigles qui nous toisent , Du haut de leurs excellences , C'est que nous sommes qu'en apparence , une foule défunte qui pavoise, sans guère pouvoir couper les ronces , sur les chemins ,et l'on reboise !

Depuis qu'un jour au beau milieu, De ma ville natale a vite poussé, un souk étrange en ce beau lieu, comme un cancer très avancé. Des étrangers venus de nulle part, se donnent rencart dans ces ruelles, on salit tout  et  on repart, sans aucune taxe éventuelle.

que tous les champs sont en fleurs , que tous les coeurs sont en liesse, j'entendrais moins le son des pleurs, je sentirais moins leur tristesse. Le peu de gens,mon deuil portant, auront en telles journées souriantes, moins de chagrin en m'emportant, et longeront ,hardis,les sentes.