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Affichage des articles du décembre 5, 2010

Ce Samedi à Goulmima :Le froid est dans les coeurs !

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Le froid commence à s'installer, les bout de nez à geler, heureusement que cette année les mass-médias ne nous ont pas contaminés d'un virus nouveau .il y a des virus chaque Hiver, mais lorsque personne n'en parle, personne n'en est atteint, chacun gère son rhume à sa façon. Le pays, lui, a des hémorroïdes tenaces et intraitables,d'autant plus qu'il est face à l'eau céans , dont seule la chirurgie pourrait le soulager à jamais, car cette constipation ne peut durer longtemps et ce n'est pas la diarrhée verbeuse qui mettra fin à la congestion des vaisseaux sans gain...Les faveurs et l'impunité dont jouissent les membres de la cinquième colonne ne sont qu'un analgésique qui ne soigne que les maux de tête et laisse ardent sous la cendre le foyer de l'inflammation ... Le froid néanmoins n'est pas que climatique ,on le sent dans les relations entre ces grandes personnes que sont les pays ,ou qui sont censés être considérés comme tels .Les cart...
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A la lumière de nos pénombres ...

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Quelles peines les jours si chauds m’ont donc fait sentir, Pas moins que les nuits lourdes,en guettant ton retour, Lumière d’un microcosme,étoile dans mon cœur Es-tu vivante encore? Ton corps bouge et  respire, ou bien cadavre ainsi  tu es,au terme de ton parcours? Quelles mains,sans doute impies,usant de mille détours, Ont étouffé ta voix ,tel un hideux vampire! Quelle dîme payes-tu donc ?Quel veule créancier, torture ta frêle jeunesse,sans guère faire sa cour, Quel diable adores-tu donc,quel fils de Belzébuth, A donc hanté ton être,en a arraché le cœur? Partie donc un soir,nous laissant dans le noir, Lumière des tristes nuits,sourire de nos beaux jours Ceux-ci ne nous voient plus ,Nous leur devons beaucoup les nuits ? un manteau blanc, Un combattant si faible perdant la lutte d’avance de fermer nos paupières. Mordue au cœur la vie, se lève pour retomber, ses entrailles ardentes ressentent ton absence. Elle n’est que par toi ,tu es sa vraie lumière, Le fl...

Les têtes de sardines ...pour les ploucs !!

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Un Belge et un Français travaillent sur un chantier à La Panne en Belgique.  A l'heure du déjeuner le Belge regarde le Français qui mange des sardines et met toutes les têtes dans un sac en plastique.  Le Belge "Pourquoi tu mets ces têtes de sardines dans ce sac en plastique ?"  Le Français "Je les garde pour mes mômes. Les têtes de sardines ça rend les mômes intelligents."  Le Belge "Moi aussi je veux devenir intelligent !. Tu me donnes tes têtes de sardines".  Le Français "Je ne peux pas te les donner, mais je peux te les vendre".  Le Belge "D'accord, je t'achète les têtes de sardines. Combien ?"  Le Français "50 euros (70 $)".  Le Belge "Ok"  Le Français vend les têtes de sardines au Belge qui se dépêche de les dévorer.  Au bout d'un moment le Belge dit au Français : "Dis donc, tu t'es foutu de moi ! Avec 50 euros (70 $) j'aurais pu acheter plusieurs ki...

Parole de pâtres...

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Assou vivait heureux au milieu de son troupeau de caprins et d'ovins. Il avait de la chance de fouler plus de terrain que quiconque. Toutes les prairies lui appartenaient et il se délectait tous les jours d'y promener son regard magistral en même temps que son bétail. Il avait aussi la chance de se démarquer de sa société se de goûter aux délices de la solitude. Tonton Assou était alors âgé d'une quarantaine d'années et prenait la vie du bon bout et du bon côté. Il était un philosophe né: ceux de sa génération témoignaient de sa lucidité d'esprit et de son intelligence avancée. Il ne parlait que pour énoncer une sagesse, une maxime. On ne se lassait jamais de sa présence, on sirotait toujours ses propos. Quand il quittait les siens, ou les vieux de son ksar Taltfraout, en occurrence, qui étaient habitués à somnoler au soleil, il le faisait si discrètement que l'on se souvenait même pas qu'il fût présent. Il ne voulait laisser de trace de son passé que pour...