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tir à blanc sur un simulacre d'examen!

Encore une fois les responsables du ministère récidivent avec le simili-bac.Aujourd'hui 25/3/08 les élèves du secondaire qualifiant avaient rendez-vous avec cet examen blanc que certains enseignants n'ont pas hésité à qualifier de mascarade. Il est vrai que pour les élèves cet examen blanc représente une rare opportunité de se tester dans des conditions similaires à celles de l'examen réel,afin de corriger leurs lacunes et de vaincre le trac qui participe souvent à les bloquer durant l'examen final.Il n'en demeure pas moins vrai également que cet examen blanc qui fait partie des examens formatifs intervenant au milieu du cursus scolaire permet de se préparer à l'examen final.Cependant et pour atteindre vraiment ces nobles objectifs cet examen blanc devrait normalement se passer exactement dans les mêmes conditions que le vrai examen de fin d'année.Sans cela il demeure une simple formalité ,voire une malencontreuse perte de temps comme n'ont pas oublié de...

pensées débiles...

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-Quelle est la plus Européenne des maladies connues à ce jour? - La scarlatine!! &&& -Qu'est ce qui prouve que les lapons ont toujours possédé un savoir ancestral transmis de gènes et rations en gènes et rations? -Lapon sait!! &&& -De quel archipel peut-on avoir une vue imprenable sur la mer? -L'archipel des Balkans!!

un incident qui en dit long !

Le 18/3/08 les élèves s'apprêtaient à entrer dans les classes à huit heures du matin ,lorsque soudain une foule se précipita vers l'entrée de l'administration.Je courus comme les autres pour m'enquérir de la raison de ce rassemblement et je remarquai un jeune élève qui gisait de tout son long à même la terre.Ce qui me frappa sur le moment fut la totale indifférence de cette foule qui se tenait là à le regarder sans oser rien faire.Je m'avançai en jouant des coudes et réussis difficilmement à le mettre debout puis demandai à l'un des agents de service d'apporter une chaise où nous l'installâmes péniblement .Une fois assis je demandai au même agent d'appeler les services de la protection civile pour que l'élève en question soit transporté d'urgence à l'hôpital tout proche.La victime râlait de manière inquiètante ,je m'efforçai de le calmer et de dépoussiérer ses vêtement salis par la poussière de la cour car il commençait à le faire lui...

pensées débiles (inédites)

-Que fait donc un oiseau qui traverse le ciel? -Il vole comme tous les élèphants!! xxx -Quel nom conviendrait à un chaton qui ferait sa toilette dés l'aube et brille toujours de propreté? -Chat tôt brillant!! xxx Que pourrait-on dire des notes de ces élèves Ethiopiens qui varient entre 0 et8 /20? -La faim justifie les moyennes!!! par Aziz.

chagrin de chien

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Rien n'est plus vide qu'une vie de chien, ayant brisé tout et chaîne et laisse et liens, se morfond dans la foule aux yeux canins, souffrant d'être seul au milieu des siens. Solitude,quand de tes longs bras tu nous enlaces, que de ton corps géant,lit vide ,tu remplis notre espace, saignant les cœurs sur l'autel de l'angoisse, l'oncle ennui qui dresse sa tente,rejoint de suite par tante poisse. Alors abeilles,point ne bourdonnez et silence corneille! ce jour et j'en ai peur demain,de même seront comme la veille, et, vous ayant déjà ouï, vils bruits,je n'en veux point refaire pareil, vous chantez faux , je crains et ne puis écouter vos merveilles !

hymne à la vie

Bonjour la vie! Pour certains tu as l'odeur de cette matière qui n'en a pas,comme on dit,mais pour moi ton encens me remplit de joie,parfum de verveine du thé matinal,relent musqué d'une journée consentie,telle une nouvelle mariée qu'on dépose d'une calèche d'osier sertie de roses,à son époux piaffant,tels les coursiers de son carosse.Je t'aime,journée de mes rêves,bien plus que la nuit;cette eternelle complice des conspirateurs de tous les temps.Tu es crainte,adulée car tu dévoiles tous les crimes avant qu'ils ne soient consommés. D'aucuns se vantent de te mener riche et exhibent tout ton long des biens qui ne leur reviennent que par le bon vouloir de ton créateur et d'autres se lamentent de t'avoir pauvre.Dans leurs yeux la honte de t'avoir comme d'un fils naturel qui viendrait à toi et te retiendrait passionnément dans ses menottes fragiles comme ton fil;mais comment peut-on avoir honte d'un don de toi en qui on n'a aucun m...

Le vent du sud

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Souffle,vent du sud! remplis les yeux déjà aveuglés par l'éclat factice des jours que tu gâches.Bouche les oreilles de ceux qui n'apprécient que le tintement des pièces de monnaie sur leur comptoir couvert d'une vieille enseigne de coca-cola.Emporte loin de la ville les relents de ces cadavres vivant par habitude dans l'attente de jours qu'ils souhaitent meilleurs.Souffle en bourrasques sablonneuses et étouffe toute forme de vie,jusqu'à ce que la parole revienne au muet,qu'il soit écouté et non seulement entendu le temps d'une pause...Aprés toi la ville ne sera que plus calme et rien ne se perdra puisque le meilleur gagne... Dégage ces trottoirs squattés par les cols noirs de sueur,qui en changent pourtant chaque jour.Tu es la bénédiction de ceux qui décrassent les corps avant et aprés la mort.Nul hormis eux ne te souhaitent plus souvent qu'à ton tour... Détends-toi,invité d'un jour et remonte les rues creuses à donner le mal de terre à un trac...

Pour qui sonne la cloche?

Je pense que le véritable danger qui guette cette noble fonction de l'enseignement est justement,aussi paradoxal que cela puisse paraître,que les enseignants se considèrent comme des fonctionnaires.Rien de grave à ce que leur administration les considère comme tels,elle ne pourrait faire autrement puisque à ses yeux il n'existe que des numéros de somme (référence bestiale)qui doivent être présents à leurs postes, par tous les temps,suivant un tableau de service imposé et dont chaque absence injustifiée est sanctionnée par un prélèvement,justifié lui,sur le salaire correspondant à ce numéro. Mais ,dans un domaine où l'effort fourni est difficilement quantifiable ,il serait déplorable de réagir de manière mercantile et de se dire que ,puisque la rémunération ne correspond pas à l'effort consenti,ou prétendûment consenti;il faudrait ,pensent certains,réduire cet effort jusqu'à ce qu'il soit inférieur ou égal au salaire reçu,évalué selon des critères basés sur des c...

Le problème de la base ou la base du problème

Le ministère de l'enseignement pourrait-il répondre à la question de savoir la raison pour laquelle les exemplaires de la charte n'ont pas été généralisés et mis à la disposition de tous les intervenants dans ce domaine?Pourquoi s'est-on donc limité à mettre dans le secret des dieux seulement les services d'encadrement pédagogique et avoir omis les enseignants,fer de lance du système qui sont directement sur le front pédagogique? N'est-ce pas en effet une guerre que nous menons tous contre l'ignorance et l'analphabétisme,chacun selon son niveau de responsabilité?Qui oserait encore nier aujourd'hui que se sont les enseignants qui sont mis à l'index chaque fois qu'il s'agit de présenter le bouc-émissaire idéal sur l'autel de la baisse du niveau scolaire? Alors pourquoi ne sont-ce pas eux qui sont consultés directement ? Ou bien préfère-t-on ne leur offrir qu'un ersatz de cette charte sous forme d'un" projet de document sur l...

Souffrances vitales

Les ecchymoses des jours, ont meurtri mon visage, Les coups de poing du destin, en ont modifié l'orthograve. Un tissu de vie, pourtant de fil certain, tendu des deux extrêmes, flétri aux bords, rongé de toutes douleurs, pas gai,ahane s'éreinte, dans la cale du temps,   Que n'avais-je donc appris, que la souffrance est une joie, sans être de Masoch l'adepte, bénissant le fil qui vous coupe l'aorte!   J'adore la vie, dans ce qu'elle a de plus dur, quand,tel un Spartacus j'en maîtrise les rênes. Et même si le quadrige à tel caillou s'éclate, l'alezan de tête ,pourtant, n'en perd l'allure!                                                                                    Aziz,2007.

Anachronismes

Certain de sa mort, le poète s'épuise, à essorer les mots, à en sortir les dernières gouttes, de sève vivante. Content de ne plus être, un cauchemar en sandales, martèle le macadam, de ses orteils de braise. Un jour ,une pensée errante, faisant halte pour un éclair, dans l'espace démesuré, lui donnera seulement raison, non pas d'être mais de n'avoir existé, de s'être éteint un jour où d'autres s'allumaient                                                                                        Aziz

L'apprentissage du Français au lycée.

En parlant de l'apprentissage du Français comme langue étrangère il faudrait souligner que l'estimation des résultats demeure toujours sujette à caution ,en l'absence de statistiques permettant d'analyser la situation en toute objectivité.A mon avis la baisse du niveau des élèves n'est pas aussi dramatique qu'on le pense car il y a encore et fort heureusement des élèves qui aspirent et s'astreignent à améliorer leur connaissance de cette langue.Je pense que parfois ceux qui accusent une baisse de niveau voient la réalité à travers les lunettes roses de leur passé qui ne pouvait être que florissant.Chacun se réfère à un passé révolu où il était étudiant et tend à idéaliser cette époque et à juger par conséquent le présent comme étant déficitaire. Le niveau n'a pas toujours été brillant pour tous,il y a eu toujours une demi-douzaine d'élèves qui participaient et les autres qui suivaient en spectateurs plus ou moins intéressés.De toute façon je croi...

La violence au lycée de goulmima(suite)

Aujourd'hui ,vendredi 29 février,les enseignants du lycée ont organisé un sit-in dans la buvette de l'établissement pour manifester leur colère et leur désapprobation des suites de l'agression dont a été victime l'un de leurs collègues.Ce dernier s'est réservé le droit de poursuivre son agresseur devant l'autorité judiciaire compétente.Durant ce sit-in les différents intervenants ont essayé de cerner les raisons de la multiplication des actes de violence contre les membres de l'administration,dont même le proviseur qui n'y a pas échappé et contre les enseignants.Certains ont accusé l'administration actuelle d'être laxiste et regrettent les temps naguère où la sévérité etait de mise et où tout le monde marchait à la baguette,plus à l'air du temps, préconisent au contraire de prendre en considération les facteurs extra-scolaires qui engendrent cette recrudescence de la violence qui,disent-ils ne concerne pas seulement ce lycée mais aussi plusie...

La violence au lycée de goulmima

Aujourd'hui,28/2/08 au matin une le lycée Med V a été le théâtre ,encore une fois d'un acte de violence,perpétré par un élève contre son professeur.L'élève en question aurait mal accepté que le prof lui accorde un zéro,ce qui l'a mis hors de lui et poussé à frapper l'enseignant devant les élèves et les membres de l'administration qui ne sont arrivés que trés difficilement à maîtriser l'élève insolent .Il faut signaler que depuis quelques années la violence a envahi cet établissement pourtant considéré avant comme un lycée paisible où les élèves étaient rarement violents envers les fonctionnaires et les enseignants.Le laxisme de l'administration et l'absence de toute initiative draconiènne susceptible de ramener la sévérité de naguère laisse la porte ouverte à tous les dépassements.A celà,ajouter la bourrasque des droits de l'homme qui ont souvent été interprétés abusivement. D'un autre côté il ne faudrait point négliger la part de responsabil...

L'occupation illégale de l'espace public

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Tout habitant de cette grosse bourgade du sus-est marocain ne pourrait s'empêcher de constater combien il est astreignant de circuler,que ce soit à pied ou avec n'importe quel moyen de locommotion.Les échopes et tous les commerces,mécaniciens,tôliers,menuisiers et autres artisans étalent leurs marchandises ou travaillent sur les trottoirs laissant aux pauvres piètons la route asphaltées où ils doivent composer avec les différents véhicules à leur corps défendant.Quand un passant se risque par esprit civique à condamner ces pratiques,le commerçant désigné se défend vigoureusement en arguant qu'il paye des droits pour occuper le trottoir.C'est là que se pose la question cruciale.En effet on pourrait ,à raison se demander comment la municipalité peut-elle céder le passage public pour qu'il devienne l'espace d'une activité mercantile.Quant aux premiers concernés,c'est à dire bien sûr les passants sont tellement découragés par le cumul de l'incapacité et ...