Souffrances vitales
Les ecchymoses des jours,
ont meurtri mon visage,
Les coups de poing du destin,
en ont modifié l'orthograve.
Un tissu de vie,
pourtant de fil certain,
tendu des deux extrêmes,
flétri aux bords,
rongé de toutes douleurs,
pas gai,ahane s'éreinte,
dans la cale du temps,
Que n'avais-je donc appris,
que la souffrance est une joie,
sans être de Masoch l'adepte,
bénissant le fil qui vous coupe l'aorte!
J'adore la vie,
dans ce qu'elle a de plus dur,
quand,tel un Spartacus j'en maîtrise les rênes.
Et même si le quadrige à tel caillou s'éclate,
l'alezan de tête ,pourtant, n'en perd l'allure!
Aziz,2007.
ont meurtri mon visage,
Les coups de poing du destin,
en ont modifié l'orthograve.
Un tissu de vie,
pourtant de fil certain,
tendu des deux extrêmes,
flétri aux bords,
rongé de toutes douleurs,
pas gai,ahane s'éreinte,
dans la cale du temps,
Que n'avais-je donc appris,
que la souffrance est une joie,
sans être de Masoch l'adepte,
bénissant le fil qui vous coupe l'aorte!
J'adore la vie,
dans ce qu'elle a de plus dur,
quand,tel un Spartacus j'en maîtrise les rênes.
Et même si le quadrige à tel caillou s'éclate,
l'alezan de tête ,pourtant, n'en perd l'allure!
Aziz,2007.
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