Braves enfants de Tamazgha
A ceux qui ,contraints,ont dû quitter la terre,
La terre de leurs ancêtres ,pour aller vivre ailleurs,
bravant les vents des mers,vivant en solitaires,
de moi un grand ayuz ,aux hardis travailleurs.
Sur toute la carte du monde,Gheris a parsemé
Sa graine au fil du vent ,et qui a pris racine,
Même souvent sur les roches neigeuses du Groenland
Les fiers imnayns des temps, sont partout des présents.
Laissant derrière eux leur chères et braves mères ,
ayant souffert longtemps pour les voir grandir,
les mains calleuses et dures, des grosses peines sévères,
rêvant d'un jour heureux, de les revoir venir.
ayant souffert longtemps pour les voir grandir,
les mains calleuses et dures, des grosses peines sévères,
rêvant d'un jour heureux, de les revoir venir.
Ayuz à tous, soldats de l'ombre, trimant au soleil,
afin que les petites sœurs puissent se bien vêtir,
Pour que le père vieilli s'abandonne au sommeil,
afin que les petites sœurs puissent se bien vêtir,
Pour que le père vieilli s'abandonne au sommeil,
repos du vieux guerrier ,qu'il peut enfin sentir.
Que vive Tamazgha,si longtemps qu'imazighens,
ravivent cette flamme en fiers combattants ,
sans lances sans kalachs,luttant d'armes nouvelles,
usant de leur cervelle pour sortir des tourments.
ravivent cette flamme en fiers combattants ,
sans lances sans kalachs,luttant d'armes nouvelles,
usant de leur cervelle pour sortir des tourments.
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