L'ironie du sort (4 ème épisode).
Depuis la visite de la famille de Wayd, Yate s'était retirée dans sa chambre et vivait dans la solitude. Ses parents lui interdirent de sortir pour ne pas rencontrer Yane. Ils tinrent à son union avec Wayd et essayaient de la convaincre avec souplesse et beaucoup de diplomatie, mais en vain.
La visite de la tante de Yane vint serrer encore plus l'étau sur elle. La mégère sortit et passa le relais au diable pour finir son travail à merveille. Sa mère l'appela et lui dit : "Je crois que tu l'as bien entendue, je le savais ; Yane est un fils à maman, il ne peut rien faire devant l'opposition et l'entêtement de ses sœurs."
-"Mes sentiments ne me trahissent jamais maman ; cette femme est une menteuse ; je crois en Yane,en son amour, il tiendra sa promesse, c'est un homme de principe."
-"Même s'il y tient; tu ne seras jamais tranquille avec lui; ses sœurs ne vous laisseront jamais goûter aux délices du bonheur de la vie conjugale."
-"Je supporterai tout pour lui et pour notre amour maman, il me suffit d'être sa femme, je suis prête à être leur bonne, leur esclave. Alors s'il te plait maman aides-moi."
-"Fermes la ; c'est moi qui sais où est ton bonheur, tu dois m'obéir et épouser Wayd. S'il te plait ma fille, je te prie d'accepter, il a beaucoup d'argent, tu as vu sa voiture ? Les cadeaux qu'il t'a apportés ? Ses vêtements très chics..."
"Je regrette maman, je ne peux pas, tout ce que tu viens de dire ne m'intéresse pas ; je mourais si je ne me marie pas d'avec Yane."
Sa mère perdit son sang froid ; elle lui donna un coup de poing sur la tête et le bracelet en argent qui ornait son bras la blessa accidentellement. Son sang coula et se confondit avec ses larmes qui déferlaient comme un torrent brûlant sur ses joues tendres, de ses gros beaux yeux embellis par tazzoult. Heureusement la blessure n'était pas grave, elle courut se réfugier encore une fois dans sa chambre tout en espérant la venue de Yane. Elle comprit à quel point, la cupidité pouvait rendre les gens agressifs et méchants.
Quant à Wayd, il attendait sa réponse avec beaucoup d'impatience. Il savait que l'amour se gagne et se mérite, ne se donne pas et ne s'achète pas, ses chances pour arriver à avoir l'amour de Yate étaient minimes , pourtant il s'y attachait. Il espérait que son argent et son statut d'homme d'affaires auraient raison des parents de Yate et que ceux-ci contraindraient leur fille à accepter ses avances. Il voulait aussi rendre une gifle à Yane qui l'avait frustré durant les années d'études.
L'excellence de Yane à l'école, sa beauté et son charme attiraient toutes les belles filles qui le courtisaient et se disputaient pour gagner sa sympathie, chose qui engendrait chez la plupart des garçons une jalousie gratuite, voire une haine déclarée.
Wayd se souvenait encore de cette époque ou il ne pouvait rien devant le charme de Yane. Il comptait ainsi user de sa fortune pour gagner au moins une bataille, quoiqu'il sût au fond de lui même que la guerre était perdue d'avance. Il allait et venait dans les parages du domicile de sa dulcinée épiant ses faits et gestes et surtout ceux de son ennemi juré Yane. Ce dernier fou de rage fit l'impossible pour rencontrer sa bien aimée. Il décida d'aller la voir et mettre fin à leur calvaire. Sur son chemin; il fut abordé par un vieux du quartier qui ,indécemment lui dit:"Yane, cela fait longtemps que je te cherche, je t'aime comme mon fils! Tu dois relever la tête et relever la tête des tiens ! Les belles filles ne manquent pas comme on dit chez nous "elles font ombre à la terre ", tellement elles sont nombreuses. Moi qui te parle, je n'ai connu l'amour qu'après le mariage si l'on peut appeler ça l'amour. Qu'est ce que tu me trouves d'anormal ?"
Yane, surpris ne savait que répondre. Mais il sentit que cet homme-là avait une idée derrière la tête.
(A SUIVRE)
La visite de la tante de Yane vint serrer encore plus l'étau sur elle. La mégère sortit et passa le relais au diable pour finir son travail à merveille. Sa mère l'appela et lui dit : "Je crois que tu l'as bien entendue, je le savais ; Yane est un fils à maman, il ne peut rien faire devant l'opposition et l'entêtement de ses sœurs."
-"Mes sentiments ne me trahissent jamais maman ; cette femme est une menteuse ; je crois en Yane,en son amour, il tiendra sa promesse, c'est un homme de principe."
-"Même s'il y tient; tu ne seras jamais tranquille avec lui; ses sœurs ne vous laisseront jamais goûter aux délices du bonheur de la vie conjugale."
-"Je supporterai tout pour lui et pour notre amour maman, il me suffit d'être sa femme, je suis prête à être leur bonne, leur esclave. Alors s'il te plait maman aides-moi."
-"Fermes la ; c'est moi qui sais où est ton bonheur, tu dois m'obéir et épouser Wayd. S'il te plait ma fille, je te prie d'accepter, il a beaucoup d'argent, tu as vu sa voiture ? Les cadeaux qu'il t'a apportés ? Ses vêtements très chics..."
"Je regrette maman, je ne peux pas, tout ce que tu viens de dire ne m'intéresse pas ; je mourais si je ne me marie pas d'avec Yane."
Sa mère perdit son sang froid ; elle lui donna un coup de poing sur la tête et le bracelet en argent qui ornait son bras la blessa accidentellement. Son sang coula et se confondit avec ses larmes qui déferlaient comme un torrent brûlant sur ses joues tendres, de ses gros beaux yeux embellis par tazzoult. Heureusement la blessure n'était pas grave, elle courut se réfugier encore une fois dans sa chambre tout en espérant la venue de Yane. Elle comprit à quel point, la cupidité pouvait rendre les gens agressifs et méchants.
Quant à Wayd, il attendait sa réponse avec beaucoup d'impatience. Il savait que l'amour se gagne et se mérite, ne se donne pas et ne s'achète pas, ses chances pour arriver à avoir l'amour de Yate étaient minimes , pourtant il s'y attachait. Il espérait que son argent et son statut d'homme d'affaires auraient raison des parents de Yate et que ceux-ci contraindraient leur fille à accepter ses avances. Il voulait aussi rendre une gifle à Yane qui l'avait frustré durant les années d'études.
L'excellence de Yane à l'école, sa beauté et son charme attiraient toutes les belles filles qui le courtisaient et se disputaient pour gagner sa sympathie, chose qui engendrait chez la plupart des garçons une jalousie gratuite, voire une haine déclarée.
Wayd se souvenait encore de cette époque ou il ne pouvait rien devant le charme de Yane. Il comptait ainsi user de sa fortune pour gagner au moins une bataille, quoiqu'il sût au fond de lui même que la guerre était perdue d'avance. Il allait et venait dans les parages du domicile de sa dulcinée épiant ses faits et gestes et surtout ceux de son ennemi juré Yane. Ce dernier fou de rage fit l'impossible pour rencontrer sa bien aimée. Il décida d'aller la voir et mettre fin à leur calvaire. Sur son chemin; il fut abordé par un vieux du quartier qui ,indécemment lui dit:"Yane, cela fait longtemps que je te cherche, je t'aime comme mon fils! Tu dois relever la tête et relever la tête des tiens ! Les belles filles ne manquent pas comme on dit chez nous "elles font ombre à la terre ", tellement elles sont nombreuses. Moi qui te parle, je n'ai connu l'amour qu'après le mariage si l'on peut appeler ça l'amour. Qu'est ce que tu me trouves d'anormal ?"
Yane, surpris ne savait que répondre. Mais il sentit que cet homme-là avait une idée derrière la tête.
(A SUIVRE)
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