Le baccanicule !
Il est presque 13h GMT(14h heure locale); une chaleur torride insupportable régnait ; faisait bruler les crânes et couper le souffle.Un vent chaud, violent et très poussiéreux imposa de fermer les fenêtres, les salles sont alors transformées en serres malgré les portes laissées ouvertes pour que les surveillants soient surveillés; je ne savais plus alors ce qui allait sonnait: la sonnette ou le tocsin !!
Le ventre bombé de patates et de carottes;je parle de moi bien entendu;le corps fatigués en phase de digestion est même incapable de s'asseoir,les idées ne traversent point les ésprits quasiment paralysés par un sommeil qui les guette et qui n'attend que le moment propice pour les emporter dans les bras de Morphée .
Dans les couloirs,des seaux en plastique pleins d'eau pour le moins tiède pour ne pas dire chaude renfermant cette poussière fine et servant à désaltérer les candidats dans cette situation dure.les gorges asséchées par les X et les Y qu'on n'arrive pas à avaler n'ont d'autre recours que ce liquide plus adapté à l'ablution qu'à la boisson.
La hausse de la température brûlait les nerfs de tout le monde et il n'est pas rare d'entendre gueuler dans les salles ,des altercations subites entre des surveillants zélés et des élèves qui croient que le droit de copier figure sur la charte des nations unies ,des droits de l'Homme et de l'enfant en particulier .
Les minutes du cycle infernal passaient comme des heures; soudain une jeune fille s'écria,apparemment asthmatique s'écria :"ouvrez les fenêtres s'il vous plait!je n'en peux plus, faites entrer de l'air,je vais exploser..."
Les fenêtres s'ouvrirent et les copies s'envolèrent à cause de la rafale de vent;du bruit se produisit mais le souci de la réussite l'emporta et la salle retrouva son calme qui n'avait duré que quelques minutes puisqu'un jeune garçon s'écria à son tour:"fermez les fenêtres s'il vous plait;il m'est impossible d'immobiliser la copie pour écrire et de me concentrer",le courant d'air était vraiment trop fort.
Grosso modo, ouvrez les fenêtres, fermez les fenêtres, apportez moi boire était le refrain de la chanson d'aujourd'hui lors d'une séance de la deuxième session du bac sous le soleil ardent de Goulmima ...
Le ventre bombé de patates et de carottes;je parle de moi bien entendu;le corps fatigués en phase de digestion est même incapable de s'asseoir,les idées ne traversent point les ésprits quasiment paralysés par un sommeil qui les guette et qui n'attend que le moment propice pour les emporter dans les bras de Morphée .
Dans les couloirs,des seaux en plastique pleins d'eau pour le moins tiède pour ne pas dire chaude renfermant cette poussière fine et servant à désaltérer les candidats dans cette situation dure.les gorges asséchées par les X et les Y qu'on n'arrive pas à avaler n'ont d'autre recours que ce liquide plus adapté à l'ablution qu'à la boisson.
La hausse de la température brûlait les nerfs de tout le monde et il n'est pas rare d'entendre gueuler dans les salles ,des altercations subites entre des surveillants zélés et des élèves qui croient que le droit de copier figure sur la charte des nations unies ,des droits de l'Homme et de l'enfant en particulier .
Les minutes du cycle infernal passaient comme des heures; soudain une jeune fille s'écria,apparemment asthmatique s'écria :"ouvrez les fenêtres s'il vous plait!je n'en peux plus, faites entrer de l'air,je vais exploser..."
Les fenêtres s'ouvrirent et les copies s'envolèrent à cause de la rafale de vent;du bruit se produisit mais le souci de la réussite l'emporta et la salle retrouva son calme qui n'avait duré que quelques minutes puisqu'un jeune garçon s'écria à son tour:"fermez les fenêtres s'il vous plait;il m'est impossible d'immobiliser la copie pour écrire et de me concentrer",le courant d'air était vraiment trop fort.
Grosso modo, ouvrez les fenêtres, fermez les fenêtres, apportez moi boire était le refrain de la chanson d'aujourd'hui lors d'une séance de la deuxième session du bac sous le soleil ardent de Goulmima ...
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