La pêche en eaux troubles sans scaphandre
Nous assistons dernièrement au Maroc à une mobilisation sans précédent pour pousser l'opinion publique
dans ses extrêmes afin de se faire une idée tant soit peu précise sur cette opinion et la maîtriser à la veille d'élections probables .Des tentatives pareilles ont toujours été l'apanage des dirigeants occultes du pays et de leurs mandataires étrangers au lendemain des explosions du Twin-center dont la responsabilité véritable n'a jamais ,jusqu'à présent été élucidée.Il en est de même actuellement des fatwas aux carottes tous azimuts produites comme des croissants par des muftis aux barbes hirsutes télécommandés et des contre-fatwas émises par un philosophe imberbe défenseur invétéré des droits de l'homme .Il n'est pas d'ailleurs le seul sur le terrain pour jouer le contrepoids (le jeu?) contre les religieux mais s'harmonisent avec lui des voix de femmes militantes ,et même des mouvement émancipatifs de tous bords qui trouvent la brèche assez béante pour sortir le bout du nez et respirer un bol d'air frais . C'est le cas des homos ,des déjeûneurs de Mali ,des christianisés et de bien d'autres encore qui suivront.
Au lieu de faire appel à un mode de gouvernement démocrate qui repousserait le vieux makhzen dans ses retranchements et le réduirait à une présence protocolaire édentée ,ce dernier ,conscient du danger et de l'irréversibilité de la vague qui déferle inexorablement , tire ses dernières cartouches (en blanc) en aiguisant les antagonismes sociaux dangereux en espérant maîtriser le jeu le plus longtemps possible, et retarder l'agonie d'un système féodal oligarchique qui n'a pu se moderniser et répondre aux questions pressantes du présent, ni aux questions combien insistantes de la rue qui l'interpellent.
Jusqu'où mènera ce jeu subtil des forces ,l'identité violée avant d'être voilée et dévoilée ,la politique réduite au mensonge ,la gestion du quotidien par l'opium et le bâton ?
dans ses extrêmes afin de se faire une idée tant soit peu précise sur cette opinion et la maîtriser à la veille d'élections probables .Des tentatives pareilles ont toujours été l'apanage des dirigeants occultes du pays et de leurs mandataires étrangers au lendemain des explosions du Twin-center dont la responsabilité véritable n'a jamais ,jusqu'à présent été élucidée.Il en est de même actuellement des fatwas aux carottes tous azimuts produites comme des croissants par des muftis aux barbes hirsutes télécommandés et des contre-fatwas émises par un philosophe imberbe défenseur invétéré des droits de l'homme .Il n'est pas d'ailleurs le seul sur le terrain pour jouer le contrepoids (le jeu?) contre les religieux mais s'harmonisent avec lui des voix de femmes militantes ,et même des mouvement émancipatifs de tous bords qui trouvent la brèche assez béante pour sortir le bout du nez et respirer un bol d'air frais . C'est le cas des homos ,des déjeûneurs de Mali ,des christianisés et de bien d'autres encore qui suivront.
Au lieu de faire appel à un mode de gouvernement démocrate qui repousserait le vieux makhzen dans ses retranchements et le réduirait à une présence protocolaire édentée ,ce dernier ,conscient du danger et de l'irréversibilité de la vague qui déferle inexorablement , tire ses dernières cartouches (en blanc) en aiguisant les antagonismes sociaux dangereux en espérant maîtriser le jeu le plus longtemps possible, et retarder l'agonie d'un système féodal oligarchique qui n'a pu se moderniser et répondre aux questions pressantes du présent, ni aux questions combien insistantes de la rue qui l'interpellent.
Jusqu'où mènera ce jeu subtil des forces ,l'identité violée avant d'être voilée et dévoilée ,la politique réduite au mensonge ,la gestion du quotidien par l'opium et le bâton ?
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