Le 24 Avril ,Une jeunesse symbole d'espoir !

La grand' rue du village ,comme on l'appelle ici a tonné de dizaines de voix juvéniles scandant des slogans réclamant des droits pour les sortir de la situation de laissés pour compte à celui de citoyens .Déjà des tentatives ont précédé et contribué au mûrissement du principe de la contestation come moyen de faire entendre sa voix . Les manifestants étaient de différentes tendances et se réunissaient sur certains idéaux représentant un dénominateur commun .C'était pour l'observateur perspicace l'occasion d'admirer une mosaïque d'obédiences, parfois irréconciliables, telles que la laïcité prônée par les uns et le fondamentalisme religieux élevé lui-même au rang de programme politique, pour d'autres. Les escarmouches il est vrai n'ont pas attendu les premiers cent mètres parcourus pour éclater, lorsque des slogans non négociés sont levés. Mais pour l'ensemble et quoi que la cohésion allant jusqu'à la fusion des groupes n'ait pas été atteinte sous la même bannière du 20 Février ,les lignes sont restées très serrées et la fureur brillait dans les yeux de jeunes nourris aux promesses et sevrés d'horizons ,las d'attendre que le pain soit cuit ,come le dit si bien l'adage du terroir.
Beaucoup de nos concitoyens n'ont pas encore réussi à vaincre l'obstacle qui les enferme dans la simple compassion .Passer à l'acte et se réclamer victime requiert une révolution intérieure ,la sortie du majoritaire groupe des muets pour prendre symboliquement la parole pour hurler contre ce qu'on est convaincu être injuste ,en partant de sa propre situation. Lier son sort à celui d'autrui, se fondre dans la foule et appeler le coupeur de têtes, telle est l'attitude que requiert la conscience de voler dans la même galère, que n'oublieront pas de vider certains rongeurs en premier. Il est vrai que la vague de vins a drainé aussi la lie, mais le nectar ne tardera pas à retrouver sa couleur rosâtre, de vin du cru, sans atteindre les autres teintes rouge couleur de sang. Les habitués des cafés n'ont pas bougé d'un millimètre, et ce malgré les critique des contestataires, certaines personnes ont peur du lendemain, des pertes qui pourraient s'ensuivre pour leur petite personne, leurs enfants etc., mais ils oublient que tout ce beau monde qui manifestent ont aussi des enfants qui les attendent le soir. Le plus grave c'est que certains sont en chômage et chargés de famille, alors il est inconcevable que certaines personnes seulement crient contre les maux de a société et une fois que les marrons sont cuits, il y a tout le monde qui veut en profiter. De toutes les façons, il ne fallait pas espérer que les conditions, tant décriées justement, aient pu former des citoyens déclamateurs et non des sujets dociles, sans verbes d'action et se contentant des verbes d'Etat !  
La grand' rue du village ,comme on l'appelle ici a tonné de dizaines de voix juvéniles scandant des slogans réclamant des droits pour les sortir de la situation de laissés-pour- compte à celui de citoyens .Déjà des tentatives ont précédé et contribué au mûrissement du principe e la contestation comme moyen de faire entendre sa voix . Les manifestants étaient de différentes tendances et se réunissaient sur certains idéaux représentant un dénominateur commun .C'était pour l'observateur perspicace l'occasion d'admirer une mosaïque d'obédiences, parfois irréconciliables, telles que la laïcité prônée par les uns et le fondamentalisme religieux élevé lui-même au rang de programme politique, pour d'autres. L'absence des partis est passée inaperçue ,on ne peut rien en attendre dans leur mode de fonctionnement intérieur actuel .Des militants du PJD étaient présents en masse et n'ont pas manqué à leur habituelle invective contre le chef d'un parti melting-pot venu s’accaparer les devants de la scène politique .Les escarmouches il est vrai n'ont pas attendu le premier kilomètre parcouru pour éclater, lorsque des slogans non négociés sont levés. Mais pour l'ensemble et quoi que la cohésion allant jusqu'à la fusion des groupes n'ait pas été atteinte sous la même bannière du 20 Février ,les lignes sont restées très serrées et la fureur brillait dans les yeux de jeunes nourris aux promesses et sevrés d'horizons ,las d'attendre que le pain soit cuit ,comme le dit si bien l'adage du terroir.
Beaucoup de nos concitoyens n'ont pas encore réussi à vaincre l'obstacle qui les enferme dans la simple compassion .Passer à l'acte et se réclamer victime requiert une révolution intérieure ,la sortie du majoritaire groupe des muets pour prendre symboliquement la parole pour hurler contre ce qu'on est convaincu être injuste ,en partant de sa propre situation. Lier son sort à celui d'autrui, se fondre dans la foule et appeler le coupeur de têtes, telle est l'attitude que requiert la conscience de voler dans la même galère, que n'oublieront pas de vider certains rongeurs en premier. Il est vrai que la vague de vins a drainé aussi la lie, mais le nectar ne tardera pas à retrouver sa couleur rosâtre, de vin du cru, sans atteindre les autres teintes rouge couleur de sang. Les habitués des cafés n'ont pas bougé d'un millimètre, et ce malgré les critique des contestataires, certaines personnes ont peur du lendemain, des pertes qui pourraient s'ensuivre pour leur petite personne, leurs enfants etc., mais ils oublient que tout ce beau monde qui manifestent ont aussi des enfants qui les attendent le soir. Le plus grave c'est que certains sont en chômage et chargés de famille, alors il est inconcevable que certaines personnes seulement crient contre les maux de a société et une fois que les marrons sont cuits, il y a tout le monde qui veut en profiter. De toutes les façons, il ne fallait pas espérer que les conditions, tant décriées justement, aient pu former des citoyens déclamateurs et non des sujets dociles, sans verbes d'action et se contentant des verbes d'Etat !Le premier approche ,mai sera-t-il semblable aux autres ?

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