La violence au lycée de goulmima
Aujourd'hui,28/2/08 au matin une le lycée Med V a été le théâtre ,encore une fois d'un acte de violence,perpétré par un élève contre son professeur.L'élève en question aurait mal accepté que le prof lui accorde un zéro,ce qui l'a mis hors de lui et poussé à frapper l'enseignant devant les élèves et les membres de l'administration qui ne sont arrivés que trés difficilement à maîtriser l'élève insolent .Il faut signaler que depuis quelques années la violence a envahi cet établissement pourtant considéré avant comme un lycée paisible où les élèves étaient rarement violents envers les fonctionnaires et les enseignants.Le laxisme de l'administration et l'absence de toute initiative draconiènne susceptible de ramener la sévérité de naguère laisse la porte ouverte à tous les dépassements.A celà,ajouter la bourrasque des droits de l'homme qui ont souvent été interprétés abusivement.
D'un autre côté il ne faudrait point négliger la part de responsabilité de certains enseignants eux-même qui omettent de prendre en considération les tensions nerveuses et le stress qui accablent les élèves devant un système qui ne cherche qu'à les exclure le plus rapidement possible.Cet enseignant aurait pu par exemple éviter d'accorder la note éliminatoire à cet élève.
D'un autre côté il ne faudrait point négliger la part de responsabilité de certains enseignants eux-même qui omettent de prendre en considération les tensions nerveuses et le stress qui accablent les élèves devant un système qui ne cherche qu'à les exclure le plus rapidement possible.Cet enseignant aurait pu par exemple éviter d'accorder la note éliminatoire à cet élève.
Commentaires
Quant aux mots intimidants qu'il a employés tels que "tu vas voir" "je suis violent" etc il faut qu'il sache que comme dit le proverbe Amazigh "akk ourdayisiwidnt toutmin adi issiwd maydorount!" et s'il a l'audace de se présenter en face au lieu de répondre de manière "anonyme" dans un blog que j'ai le courage de gérer sous mon propre nom,qu'il s'adresse à moi directement dans la rue ,nous discuterions ensemble autour d'un bon thé et je lui expliquerais que je n'ai rien contre lui à titre personnel.