L'irresponsabilité érigée en dogme .
Les dernières intempéries qui ont engendré des inondations diluviennes dans plusieurs régions du pays posent encore une fois la question de la gestion des biens publics et la manière dont sont réalisés les grands travaux publics souvent honorés de l'inauguration du monarque en personne .Faut-il en déduire que les bénéficiaires des magouilles des ouvrages effondrés se savent intouchables malgré le tollé général soulevé pour quelque temps par les scandales des vies perdues et des biens qui resteront sans dédommagement véritable? Mais la vie humaine a-telle un prix dans le pays qui abrite un forum des droits de l'Homme ?Ce ne serait point le cas si l'on juge par le nombre de victimes emportées par les crues et qui ne manqueront pas de l'être puisque rien de tangible n'est entrepris pour résoudre le fonds du problème .
Des photos et des vidéos ,in situ, nous ont montré comment des ponts érigés du temps de l'occupation française ont mieux résisté aux coups de bélier des flots déchaînés que ne le furent des édifices récents dont les concepteurs et les bâtisseurs bénéficient de meilleurs matériaux et de matériel de pointe sur le marché.Mais reste à savoir s'ils s'en sont servis ou s'ils ont fait usage de matériaux et de services d'ingénierie de moindre valeur ,ce que personne ne mettrait plus en doute à la vue des ponts de gaufrettes et des bitumes en chocolat-crème emportés par les remous ,faute de sérieux dans le travail.
Ce laisser-aller ne peut que nuire aux intérêts du pays qui se voit ainsi subissant des pertes humaines et des dégâts matériels ,sans compter la méfiance des touristes et des visiteurs étrangers qui vont y réfléchir à deux fois avant d'oser s'aventurer dans un pays où l'infrastructure routière est alarmante et vont préférer d'autres pays à vocation touristique et mieux équipés ,comme la Turquie ,dont justement les sociétés construisent nos routes et nos autoroutes et sont, de surcroît , payées rubis sur l'ongle .
Des photos et des vidéos ,in situ, nous ont montré comment des ponts érigés du temps de l'occupation française ont mieux résisté aux coups de bélier des flots déchaînés que ne le furent des édifices récents dont les concepteurs et les bâtisseurs bénéficient de meilleurs matériaux et de matériel de pointe sur le marché.Mais reste à savoir s'ils s'en sont servis ou s'ils ont fait usage de matériaux et de services d'ingénierie de moindre valeur ,ce que personne ne mettrait plus en doute à la vue des ponts de gaufrettes et des bitumes en chocolat-crème emportés par les remous ,faute de sérieux dans le travail.
Ce laisser-aller ne peut que nuire aux intérêts du pays qui se voit ainsi subissant des pertes humaines et des dégâts matériels ,sans compter la méfiance des touristes et des visiteurs étrangers qui vont y réfléchir à deux fois avant d'oser s'aventurer dans un pays où l'infrastructure routière est alarmante et vont préférer d'autres pays à vocation touristique et mieux équipés ,comme la Turquie ,dont justement les sociétés construisent nos routes et nos autoroutes et sont, de surcroît , payées rubis sur l'ongle .
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