Qui nous garantit d'une récidive de l'Histoire ?
Monter en épingle des petites histoires banales ,comme celle de (Mali) pour montrer le pays comme un conglomérat hideux de gens terriblements intolérants et maintenir vivante l'image archétype de gens sanguinaires et peu fréquentables que l'occident s'est faite de ce qu'ils appellent en parfaite ignorance "le moyen orient";telle est la volonté des anciens colonisateurs ,qui justifient ainsi leur main-mise précédente sur ces "bougnoules" incapables de se gérer eux-mêmes et peut-être aussi ,tout en maintenant la domination invisible actuelle,mettre les bases d'une autre forme plus terre à terre si les conditions l'imposent.
En fait la répétition des mêmes conditions qui ont motivé l'occupation peuvent toujours se reproduire dans un système moyenâgeux où l'esprit tribal gouverne sous la cendre du feu apparent des partis politiques et des syndicats de toutes sortes.Rien n'interdit qu'un jour l'État ne soit dans l'obligation de demander (officiellement) à être protégé contre un groupe ou un autre ,comme cela est déjà arrivé.Les facteurs d'équilibre ou ce qu'on pourrait qualifier de "contrepoids"n'ont plus la solidité d'antan.quant à l'intoxication par la répétition à la nausée des mêmes procédures malgré tous les échecs,eh bien elle a comme toute technique de gestion des masses ,ses limites et ses aléas.
Le facteur T ,comme Théïos ,qui contribue à adoucir ,sinon éteindre complètement les velléités subversives est savamment récupéré pour y retrouver les valeurs même contre lesquelles on l'utilise,à savoir,la révolte et l'insoumission.Le dosage des forces en présence requiert de plus en plus de doigté et d'efficacité décisionnelle,le temps des erreurs (mortelles) est enterré mais pas pour toujours.Nous n'avons jamais reçu de garanties explicites que ce qui s'est passé ne se reproduira plus,et ce n'est pas parce que nos geôliers d'hier ont mis comme slogan sur leur étendard des mots qui sonnent à merveille et ont adopté les dixaines de chartes des nations unies, restées pour la plupart non appliquées,que nous devons avoir confiance et leur livrer nos gorges comme des agneaux pour qu'ils coupent celles qui ne l'ont pas été durant leurs génocides sans nom.
Le facteur T ,comme Théïos ,qui contribue à adoucir ,sinon éteindre complètement les velléités subversives est savamment récupéré pour y retrouver les valeurs même contre lesquelles on l'utilise,à savoir,la révolte et l'insoumission.Le dosage des forces en présence requiert de plus en plus de doigté et d'efficacité décisionnelle,le temps des erreurs (mortelles) est enterré mais pas pour toujours.Nous n'avons jamais reçu de garanties explicites que ce qui s'est passé ne se reproduira plus,et ce n'est pas parce que nos geôliers d'hier ont mis comme slogan sur leur étendard des mots qui sonnent à merveille et ont adopté les dixaines de chartes des nations unies, restées pour la plupart non appliquées,que nous devons avoir confiance et leur livrer nos gorges comme des agneaux pour qu'ils coupent celles qui ne l'ont pas été durant leurs génocides sans nom.
Ce qui a retenu jusquà maintenent les velleités colonialistes de nos voisins du nord est surtout la baisse de rentabilité d'une occupation territoriale avec la sévérité des lois internationales auxquelles leur soit-disant soumission leur en interdit toute infraction.Un respect des lois qui ne doit sans doute pas contredire les intértêts stratégiques de ces états ,car autrement ils envoient aux calendes grecques toutes les chartes et toutes les recommandations pour quelques barils de plus par jour,comme ils l'ont déjà fait sans scrupules avec d'autres.
Les Etats du tiers-monde se retrouvent ainsi placés entre le marteau des firmes et des instances internationales d'un côté et de l'autre celui de la vindicte populaire qui ne peut plus trouver de justification à tant de molesse de leurs dirigeants ,privés de tout réflexe défensif devant les coups de boutoir des multinationales et des classes voraces locales dépourvues de toute forme de scrupules, et se faisant sienne la stratégie des rats qui sont toujours les premiers à quitter le bateau en perdition, aprés en avoir rongé voracement les planches de la cale et que le bateau fait eau de toutes parts.
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