ces fous qui nous terrorisent
Tout le monde sait qu'à Goulmima ,depuis quelques mois il y a une recrudescence des aliénés de toutes sortes qui se promènent comme bon leur semble en toute liberté. Jusque là rien d'"anormal" puisque les malades psychiques sont des êtres vivants jouissant de leur droit d'aller où ils désirent.Mais là où cette liberté devient source de problèmes c'est lorsque ces pauvres malades,sous l'effet de psychotropes ou de drogues diverses se mettent à terroriser les filles et les femmes en plein centre de la ville ou encore dans les champs où elles vont vaquer à leurs occupations quotidiennes.
En théorie et dans les pays qui se respectent et respectent leurs citoyens les malades psychiques sont pris en charge par la communauté,c'est à dire par l'état qui leur prodigue les soins que nécessite leur cas jusqu'à ce qu'ils guérissent.Mais dans nos sociétés où même les plus sains des citoyens sont traités de manière dégradante on ne peut vraiment pas s'attendre à ce que nos responsables s'occupent de ces pauvres malades mentaux qu'on se limite à qualifier de fous,sans chercher aucunement à mieux comprendre la nature de cette "folie" ni à la soigner.
Il reste donc que ces malades psychiques représentent un vrai danger publique quand ils se mettent à frapper les éléments les plus faibles de la société ,à savoir les femmes,sans que personne n'intervienne pour porter secours aux victimes ,comme cela a été le cas à plusieurs reprise.Et lorsque on parle justement de porter secours on ouvre un autre volet de la question ,à savoir que l'individualisme maladif qui règne actuellement parmi les goulmimiens est tellement dégoûtant qu'on se demande si l'on est au milieu d'une population en chair et en os ou au milieu de "zombies" sadiques qui se délectent de voir un fou à lier tabasser une pauvre femme sans défense. où est donc cette Timouzgha dont on nous parlait jadis,sinon où sont tous ces préceptes Islamiques d'entraide et de secours mutuel dont on nous crève les tympans à chaque prêche de vendredi? Les gherissois sont ils vraiment devenus couards et lâches à ce point?
En théorie et dans les pays qui se respectent et respectent leurs citoyens les malades psychiques sont pris en charge par la communauté,c'est à dire par l'état qui leur prodigue les soins que nécessite leur cas jusqu'à ce qu'ils guérissent.Mais dans nos sociétés où même les plus sains des citoyens sont traités de manière dégradante on ne peut vraiment pas s'attendre à ce que nos responsables s'occupent de ces pauvres malades mentaux qu'on se limite à qualifier de fous,sans chercher aucunement à mieux comprendre la nature de cette "folie" ni à la soigner.
Il reste donc que ces malades psychiques représentent un vrai danger publique quand ils se mettent à frapper les éléments les plus faibles de la société ,à savoir les femmes,sans que personne n'intervienne pour porter secours aux victimes ,comme cela a été le cas à plusieurs reprise.Et lorsque on parle justement de porter secours on ouvre un autre volet de la question ,à savoir que l'individualisme maladif qui règne actuellement parmi les goulmimiens est tellement dégoûtant qu'on se demande si l'on est au milieu d'une population en chair et en os ou au milieu de "zombies" sadiques qui se délectent de voir un fou à lier tabasser une pauvre femme sans défense. où est donc cette Timouzgha dont on nous parlait jadis,sinon où sont tous ces préceptes Islamiques d'entraide et de secours mutuel dont on nous crève les tympans à chaque prêche de vendredi? Les gherissois sont ils vraiment devenus couards et lâches à ce point?
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